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Vogue France on Verney Paris

Vogue Paris

Place Vendôme, Michel Ermelin, joaillier, retrouve la verve des grands créateurs de la haute tradition parisienne. [...] La valeur artistique d’un objet est étroitement liée à la reconnaissance de l’originalité de sa signature. Gauguin, Picasso, Matisse seront toujours des valeurs sûres parce que uniques et totalement reconnaissables ; de même des bijoux signés Verney seront pour les collectionneurs des temps futurs de précieux témoins de leur époque. Ce sont des œuvres d’art, d’une grande originalité, tant au niveau de la création purement esthétique que la technique.

Michel Ermelin appartient à la grande lignée des joailliers qui pensent que l’on doit créer, innover, aller toujours plus loin. Ses bijoux sont modernes et imaginatifs ; ils subliment les formes traditionnelles en leur donnant la vie : œuvres rétiniennes d’esprit géométrique, reliefs transformables, jeux simples et pourtant fascinants des couleurs des gemmes qui, mystérieusement orchestrées en des mouvements souples et purs expriment parfaitement la femme du XXe siècle. [...] De nouveaux volumes aux éclats de saphir, émeraude, rubis, diamant… tournent sur eux-mêmes permettant la coquetterie de « changer » sans pour autant changer de parure.

Financial Times Luxury Magazine How to Spend it on Verney Vendome Paris fine jewelry

Financial Times How To Spend It

« Des codes qui ont été cassés par les femmes…. »

Michel Ermelin, designer et président de Verney, le luxueux mais discret joaillier parisien, a porté les de jour à un nouveau niveau, en concevant ce qu’il appelle : « un collier pour le jogging ». Courir à l’heure du déjeuner tout en portant Easy River, un flux fluide de diamants bruts coupés en slide, accroché avec un pendentif en forme de goutte succulente de 3,5 carats, peut être une étape de loin incroyable pour beaucoup, mais, mesdames, c’est parce que nous en valons la peine.

« Bijoux Perlés »

Les perles précieuses apportent une nouvelle dimension, fluidité et informalité à la haute joaillerie. {…} Michel Ermelin, designer, créateur et propriétaire de Verney Paris,…, qui produit quelques-uns des bijoux de perles les plus exquis du coin, adore faire un « grand spectacle » avec des centaines de carats de perles d’émeraude, de saphir ou de rubis. ajoutant que «les perles sont l’essence du classique, mais elles sont amusantes, elles ont de l’humour et du mouvement. elles sont vivantes.

Luxury Magazine on Verney Vendome Paris fine jewelry

Luxury Magazine

La Place Vendôme est une adresse légendaire dans le monde de la joaillerie, qui abrite à la fois les maisons historiques (Chaumet au numéro 12, Cartier au 23 , Boucheron au 26…) ainsi que la prochaine génération de talents. Même l’ultra-secret JAR est connu pour travailler à partir d’un atelier au numéro 7. Et au 24 Place Vendôme une maison discrète, mais grande par sa créativité où Michel Ermelin travaille sous le nom de Verney. Fondée dans les années 1980, Verney est considérée comme ayant inventé le style « joaillerie classique » qui fait référence au nouveau classicisme Français de la joaillerie. Il a également été le pionnier de l’utilisation de l’or noir dans sa bague Triade signature. Et il continue aujourd’hui à créer des « héritages de l’avenir » extraordinaires, quoique discrètement.

Connu pour ses prouesses techniques (les décors de Verney en particulier sont des prouesses d’ingéniosité), Ermelin pourrait être considéré comme un bijoutier de bijoutier si ce n’était de sa compréhension intime des besoins de l’acheteur de bijoux modernes. L’idée que les bijoux doivent être faciles à porter est au cœur de la vision de Verney. « J’ai toujours voulu créer un collier de diamants qui pourrait être porté tous les jours pour chaque occasion. Vous pourriez même aller courir en portant celui-ci. En combinant des couleurs riches à des formes organiques, Verney poursuit dans l’esprit pionnier des joailliers influents René Boivin et Suzanne Belperron. Le connaisseur de ses clients en témoigne. Cela, et le fait que, comme le travail de ces noms célèbres les femmes modernes qui achètent d’Ermelin effectivement porter ses bijoux. Il dit simplement: «Ils sont plus souvent portés sur la main que cachés dans un coffre-fort. »

Marc Cholodenko on Michel Ermelin and Verney Vendome Paris fine jewelry

Marc Cholodenko sur Michel Ermelin pour Vogue

On m’avait prévenu : faites attention, Michel Ermelin fait tout pour ne pas parler de lui. C’est vrai que quand on se trouve en face de ce garçon beau comme un camion disert et cultivé comme un vieux routier des salons, on a plutôt envie de parler de tout et de rien. Après quelques minutes passées sous le charme, à l’écouter parler de la place Vendôme comme un bijou – colonne émeraude, ciel saphir et façades ivoire -, je me ressaisis. Il débarque à Londres, pour suivre une jeune fille que ses parents voulaient éloigner de lui (eh oui, jeunes gens, c’était encore comme ça il y a 15 ans !) et monte Ermeline Jewellery, dans Beauchamp Place (prononcez Beecham) où il fait des bracelets en ivoire, en nacre et en écaille. [...] C’est avec un ami commun qu’il installe Poiray, rue de la Paix en 75 avec vingt mille francs qu’ils ont empruntés.

Après Poiray, Verney. Ses créations sont intemporelles. Nul doute, Ermelin sait donner à ses bijoux cette vie que seuls les artistes véritables ont le don d’insuffler : une existence qui n’appartient ni au passé ni à l’avenir, mais au présent, un présent que leur talent est seul capable d’éterniser. Ces bijoux sont d’aujourd’hui, mais cet aujourd’hui aurait pu être il y a dix mille ans et n’aura pas bougé d’une heure après que dix mille nouvelles années auront passé. Il se met à parler : « Vous voyiez, c’était un collier qui a été fait avec deux cent vingt émeraudes d’un carat et demi, taillées en trapèze ; comme il est ouvert et qu’il fallait qu’une partie bascule pour qu’on puisse le passer autour du cou, on a caché le mécanisme d’ouverture à l’intérieur des pierres, pour obtenir la ligne la plus simple. Ça c’était une pendule à mouvement invisible de quatre-vingt centimètres de haut, en cristal, acier et rubis. On a mis trois ans à la réaliser. Il n’y en a pas de plus haute. [...] Ça c’était un collier réversible, pour période d’austérité. D’un côté, saphirs bleus et émeraudes, de l’autre, saphirs jaunes et nacre noire. » Je lui demande pourquoi il parle de ses bijoux au passé. « C’est qu’ils ont été vendus. Et tous mes bijoux sont des pièces uniques. »

Pas étonnant que les collectionneurs de la première heure (New York, Tokyo) suivent à la trace toutes ses créations. Il signe ses aphorismes sur l’art d’un « relativement anonyme du XXe siècle. » Anonyme, c’est lui qui le dit. Ceux qui aiment les vrais bijoux connaissent Ermelin depuis longtemps et savent que grâce à lui, depuis septembre dernier, l’esprit intemporel des grands, les Toussaint et les Cartier qu’il aime à citer, s’est de nouveau installé, à l’enseigne de Verney, place Vendôme.

Solitaire Magazine Hong Kong on Verney Vendome Paris fine jewelry

Solitaire Magazine Hong Kong

Avec une passion pour les pierres précieuses fines et un penchant pour la simplicité rigide, le designer parisien Michel Ermelin a créé ce qu'il décrit comme le nouveau classicisme de la haute joaillerie , des pièces uniques qui ont contribué à redéfinir les limites Français du design de la joaillerie. Créé sous la marque Verney, qu'il a lancée en 1980 place Vendôme, Michel a gagné sa lutte de conception pour mettre les pierres précieuses au centre de chaque bijou. Quand il a décidé d'utiliser l'or noir pour faire disparaître l'or et donner toute sa splendeur aux pierres, cette décision fut controversée à l'époque.

C'est ce contraste entre les pierres précieuses colorées et le cadre sobre qui définit une pièce de Verney. « Mon intention de conception et le seul but de chaque pièce est de générer une émotion », partage Michel. Bien que la simplicité soit son mantra, les techniques utilisées pour réaliser son la simplicité est extrêmement complexe, incorporant souvent de délicieux éléments de surprise, une légèreté d'ingénierie et un mouvement exquis. Parmi ses favoris se trouve une broche de feuilles de jade sculptées délicatement contrastées avec une fine tige d'or noir incluse de reflets d'émeraude. Michel est heureux que ses pièces encouragent ses clients à inventer une image qui leur est entièrement propre. « Les femmes du XXIe siècle veulent pour "inventer" leur look, en créant leur image avec des accessoires sélectionnés. Nous embrassons cet esprit et créons des bijoux juste pour eux.